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Loup garou


Le loup-garou ou lycanthrope est un personnage de légende, vagabond et malfaisant, qui passait pour avoir le pouvoir deTerminologie [modifier]

Le terme « garou » vient du francique werwolf qui signifie déjà « homme-loup » (« wer » représente la même racine que le latin « vir », l’homme). Originellement, wolf voulait aussi dire « voleur »[1]. Le terme latin équivalent est versipelles.[2]

Le terme « lycanthrope » vient lui du grec lycos (« loup ») et anthropos (« homme »). C’est donc un être humain qui se croit transformé en loup. Le terme thérianthropie tend aujourd'hui à s'y substituer.

D'après Ernest Jones[3] le nom russe est volkodlak, de volk=loup et dlak=poil, alors que le terme slave vukodlak, qui désigne également le loup-garou, est utilisé en Bulgarie et en Serbie pour désigner le vampire. De même en tchèque : vilkodlak et en grec : vrykolakas sont utilisés pour désigner le vampire, ce qui signifie qu'il existe un rapport étroit entre le loup-garou et le vampire.

La légende [modifier]

Les 3 éléments essentiels de la croyance aux loups-garou sont les idées de métamorphose animale,de cannibalisme et de voyage nocturne[3].

Caractéristiques et attributs [modifier]

Selon la légende, lors des nuits de pleine Lune, l’humain loup-garou, se transforme en un loup énorme avec des sens sur-développés et acquiert les caractères attribués à cet animal : puissance musculaire, agilité, ruse et férocité. Il chasse et attaque sans merci ses victimes pour les dévorer, ne contrôlant plus ses faits et gestes, et pouvant tuer de nombreuses victimes en une seule nuit. Les gens se sont mis à chasser les loups, s’en protégeant avec de l’eau bénite et les tuant avec une balle en argent ou avec des pieux d'argent.

L'homme atteint de lycanthropie doit généralement ôter ses vêtements avant de prendre la forme du loup-garou. Cette croyance apparaît déjà dans le Satyricon de Pétrone (Ier siècle). De même, dans le "Lai de Bisclavret" de Marie de France (XIIe s.), un chevalier doit se déshabiller entièrement avant de se métamorphoser et dissimule ses vêtements sous une pierre creuse car, s'il ne les retrouvait pas, il serait condamné à errer indéfiniment sous la forme d'un loup.

Selon la tradition, les loup-garous souffrent de la même répulsion que les vampires pour les choses sacrées et étaient, de même, considérés comme créatures du Diable. Leur condition peut être héréditaire ou acquise. Elle peut advenir par une malédiction prononcée par un sorcier ou par un prêtre, ou en trinquant (sans le savoir) avec un loup-garou qui prononce alors une formule de transmission (croyance lituanienne).

La transmission par morsure est une invention du cinéma américain, par contamination du mythe du Vampire.

De même, selon la légende, les humains loup-garous pouvaient conserver quelques caractéristiques, telles une modification de leur voix et de leurs yeux, des sourcils se rejoignant au-dessus du nez, des ongles légèrement rougeâtres, le majeur et l'index de même longueur (comme une patte de loup), les oreilles implantées un peu plus bas et en arrière de la tête, et de façon générale un peu plus de poils sur les mains, les pieds et dans le dos.

Le loup-garou peut donc être un homme vivant métamorphosé, mais il peut aussi être un corps qui sort de la tombe sous la forme d'un loup, variété connu sous le nom de loup-garou fantôme. On croyait par là que le corps métamorphosé était celui d'une âme damnée qui ne trouvait pas le repos dans sa tombe[3].

La légende du loup-garou évoque également celle du voyage nocturne. En effet, la croyance qu'une personne donnée pouvait se trouver dans deux endroits en même temps est attestée dans les multiples récits où les blessures du loup se retrouvaient sur le corps humain qui demeurait au foyer[3].

À partir du XVe siècle, les légendes, en Scandinavie, en Russie occidentale et en Europe centrale, font état de l’existence de philtres magiques pouvant aider les humains loup-garous à retrouver tout leur aspect humain.

La lutte contre le loup-garou [modifier]

  • Le Lycanthrope ne se transformant qu’à la pleine lune, il suffit de l’enfermer durant cette période dans une cage ou une cellule solidement fermée et cadenassée.
  • Une fois la transformation effectuée, le lycanthrope voit ses forces décuplées, la seule arme efficace pour le tuer est un pistolet ou mieux un fusil à balles d’argent, si possible bénites.
  • L’exorcisme reste une autre façon de chasser l’esprit démoniaque qui a pris possession du corps du malheureux maudit et ainsi peut-être de sauver sa vie.

Pour survivre à coup sûr, il faut le toucher en plein cœur et la balle doit y rester. Si vous pouvez y parvenir avec une lance ou un pieu (il faut transpercer son cœur), il faut que la lame soit entièrement en argent et bénie au nom du saint des chasseurs. Pour le garder sans danger, il faut une cage en argent (bénie elle aussi). L’argent béni lui provoque des brûlures qu’il déteste et qu’il ne supporte pas; il ne touchera pas les barreaux de sa cage bien longtemps, si elle lui résiste, il devient plus furieux, ce qui lui donne encore plus de force.

Le mythe [modifier]

Le Loup-garou, estampe allemande de 1722
Le Loup-garou, estampe allemande de 1722

Le mythe du loup-garou est très ancien et commun à de nombreux peuples européens. Du point de vue de la mythologie, le loup-garou a longtemps été indissociable du vampire, avec lequel il partage de nombreux points communs, cependant, le mythe du loup-garou est beaucoup plus ancien que celui du vampire.

On retrouve le mythe de l’homme se transformant en animal féroce dans d’autres cultures.

  • Dans le panthéon de l’Égypte ancienne, de nombreux dieux étaient représentés sous la forme d’un hybride, moitié homme et moitié animal.
  • Dans une vieille et héroïque saga tartare, Bürûh Kahn qui régnait sur six cent loups, passait une partie de son temps sous l'apparence d'un loup resplendissant comme de l'or[3].
  • En Afrique, on note la présence de l’homme-léopard (Congo), de l’homme-chacal et de l’homme-hyène (Abyssinie).
  • Au Mexique, les nahuals et les tlahuelpuchi (uniquement dans l'état de Tlaxcala) sont des hommes-coyotes doués de pouvoirs magiques
  • On signale également la présence de l’homme-tigre en Asie et de l’homme-requin en Océanie.

Ces traditions ont peut-être inspiré les deux versions du film "La féline" (1942 et 1982), où une jeune femme se métamorphose en panthère. Ce thème est d'ailleurs très présent dans la littérature et le cinéma fantastiques. Dans "L'Île du docteur Moreau" de H.G. Wells (1896), un savant fou tente de transformer les hommes en animaux, mais il n'arrive à créer que des monstres, mi-hommes, mi-bêtes. Dans le film "La mouche noire" de Kurt Neumann (1958), c'est un biologiste qui se change accidentellement en un être hybride, mi-homme, mi-mouche. Enfin, dans le film "Sssnake" de Bernard Kowalski (1973), un autre savant fou parvient à transformer un jeune homme en cobra, mais celui-ci se fait immédiatement dévorer par une mangouste...

La tradition greco-romaine [modifier]

  • Au Ve siècle av. J.-C., Hérodote[4] parle d’une race d’hommes habitant les contrées des bords de la mer Noire et capables en tant que magiciens habiles de se métamorphoser à volonté en loups, puis de reprendre leur apparence humaine.
  • Dès cette époque il y avait une croyance au fait que des êtres humains anthropophages, par la pratique de la magie, prenaient l’apparence d’un loup pour satisfaire plus facilement leurs appétits monstrueux.
  • La mythologie grecque raconte que Latona, la mère d’Apollon, se protégeait de la colère d’Héra en se transformant en louve.
  • Ovide (-43 - 17), rapporte aussi que Lycaon, roi d'Arcadie et ses cinquante fils qui étaient réputés pour leur impiété, servirent parmi de nombreux plats à Zeus qui était venu leur rendre visite sous l’apparence d’un pauvre hère, un plat à base de chair humaine qui s’avèra être celle du plus jeune des fils. Ainsi il pourrait démasquer le Dieu des Dieux. Mais ce dernier, indigné, repoussa au loin la table du festin, foudroya tous les fils du roi, sauf Nyctimos, qui monta sur le trône et changea Lycaon en loup :

Ses vêtements se changent en poils, ses bras en jambes
devenu un loup il conserve encore des vestiges de son ancienne forme.
Il a toujours le même poil gris, le même air farouche, les mêmes yeux ardents ;
il est toujours l’image de la férocité.
Ovide, les Métamorphoses (I,209)

  • Virgile (-70 -19) en parle également dans sa huitième églogue, où il fait dire à Alphésibée : « J’ai vu Moeris se faire loup et s’enfoncer dans les bois ».
  • Pline l'Ancien (23 - 79) parle d'un écrivain grec, Évanthes, citant lui-même les livres des Arcadiens, dans lequel un individu d'une certaine famille s'est transformé en loup après avoir suspendu ses vêtements à un chêne et traversé un étang à la nage. Il reprit sa forme humaine au bout de neuf ans et retrouva même ses vêtements. Il parle également d'un certain Déménète de Parrhasie qui fut métamorphosé en loup après avoir goûté des entrailles d'un enfant, immolé dans le sacrifice de victimes humaines que les Arcadiens faisaient encore dans ce temps à Jupiter Lycéen[5].
  • Au Ier siècle, Arétée de Cappadoce explique que certains hommes qui se sentent transformés en loup sont travaillés par les appétits et les affres de cet animal féroce, se jettent sur les troupeaux et les hommes pour les dévorer, sortent la nuit de préférence, hantent les cimetières et les monuments, hurlant à la mort, avec une perpétuelle altération, les yeux enfoncés et hagards, ne voyant qu’obscurément comme s’il était entouré de ténèbres, les jambes meurtries par les égratignures et les morsures de chiens.

La tradition germanique [modifier]

De nombreuses autres légendes en Scandinavie, en Russie occidentale et en Europe centrale, font référence aux loups-garous. Les garous scandinaves ne sont par frappés du même ostracisme qu’ailleurs et, sans être ordinaire, le garou est plus ou moins accepté dans la société.

L'équivalent nordique du loup garou est le vargúlfr[6] [7].
Dans la Saga d'Egill fils de Grímr le chauve, le grand-père Úlfr fut surnommé Kveld-Úlfr, le loup du soir, car chaque soir il devenait farouche et avait envie de dormir. Egill hérita de cette propriété.
Dans la Völsunga saga Sigmundr et Sinfjötli découvrent deux hommes endormis. Des peaux de loups étaient suspendues au-dessus d'eux dans la maison ; tous les dix jours, il leur était possible de sortir de ces peaux. Sigmundr et Sinfjötli leur passèrent les peaux de loups et alors, ils ne purent aucunement en sortir, quoiqu'en vérité, ils eussent conservé la même nature qu'auparavant : ils hurlaient comme des loups, chacun d'eux sachant la signification de ce hurlement.
Les femmes peuvent aussi se transformer en louve : dans l'Edda poétique (Hárbardhsljódh), vargynjur est la femme-louve que Thórr a molesté[7].
Le loup et l'ours sont les motifs des guerriers-fauves, les berserkir (qui porte une chemise d'ours) ou úlfhedhnar (qui porte une pelisse de loup), qui dans les combats entraient dans une fureur guerrière. Cette fureur était une frénésie sacrée[8], ces guerriers des combattants d'élite[7].

Le loup garou du moyen-âge [modifier]

  • Au XIIe siècle, Guillaume de Palerme parle du Leu-Garou. De nombreux sorciers avaient à l’époque pris l’habitude de courir dans les champs, les nuits de pleine lune, munis de peaux de loup, afin d’effrayer les populations. Marie de France compose un lai (le Bisclavret) dans lequel un chevalier doit se déshabiller entièrement avant de se changer en loup et dissimule ses vêtements sous une pierre creuse, car il ne pourrait pas retrouver sa forme humaine si on les lui dérobait.
  • De la fin du Moyen Âge et durant la Renaissance, en un peu plus de cent ans, on a enregistré, en France, près de 30 000 procès de loup-garous. Les populations rurales croyaient fortement à l’existence de ces « hommes loups » qui ravageaient les campagnes et s’attaquaient aux animaux comme aux être humains. En Europe, du XVe au XVIIIe siècle, près de 100 000 personnes ont été reconnues comme loup-garou et condamnées à être brûlées vives. Selon Collin de Plancy, des dizaines de milliers d’autres ont péri, sans autre forme de procès, lorsqu’un villageois était soupçonné d’être un loup-garou, il était attrapé et écorché vif, car la légende voulait que les poils se cachaient sous la peau.

le loup garou contemporain [modifier]

  • Très récemment, le journal Courrier international du 6 novembre 2003 - n° 679, rapporte ces témoignages insolites tenus devant le tribunal criminel de Lausanne (Suisse) où un homme est poursuivi pour avoir massacré son épouse à coups de couteau : « J’ai vu ses canines pousser. Elles dégageaient une odeur étrange. Comme celle d’un loup-garou ». L’accusé a conservé « un contact avec la réalité », indiqua de son côté l’expert psychiatrique.

Étiologie [modifier]

Les médecins latins connaissaient une maladie qu’ils nommaient insania lupina (folie louvière ou rage lupine).

Les voyages de l'âme [modifier]

Selon Claude Lecouteux[9] la croyance aux loups-garous est liée à celle des voyages de l'âme, dont elle ne représente qu'un cas particulier. Dans la mythologie nordique, hamr, "la peau", est une des formes que peut prendre "l'âme", l'homme pouvant en avoir plusieurs. Elle est précisemment la forme interne qui épouse intimement l'enveloppe corporelle. La manifestation de l' hamr s'accompagne d'un accroissement de force, peut prendre l'aspect d'un animal, et se jouer des distances et des obstacles[10]. Le changement de forme, "tandis que l'individu tombe en léthargie", est "un point qui rappelle exactement la transe pendant laquelle l'esprit du chaman visite l'autre monde et entre en communication avec les esprits qu'il interroge"[11].

Selon Régis Boyer, le Hugr, dans la tradition Scandinave, est un principe actif universel qui peut parfois être capté par des gens malveillants pour produire des effets nuisibles. C'est ainsi que dans la Saga de Thórdr hredha, un homme voit en rêve dix-huit loups qui sont en fait le "hugr de loups" de ses ennemis, en fait le "mauvais hugr".

Un trouble de l'imaginaire [modifier]

Johann Weyer, médecin des Pays-Bas (1515-1588), explique la lycanthropie comme un phénomène imaginaire et maladif[12]. Il décrit ainsi les malades qui en sont atteints : ils sont pâles, ont les yeux enfoncés et la langue fort sèche.
Il en est de même de Jean de Nynauld qui publie en 1615 De la lycanthropie, transformation et extase des sorciers :

« mélancholie ou folie louvière à cause de ceux qui en estoient atteints pensent être transformés en loup ou en chien. »

Collin de Plancy, dans son Dictionnaire infernal, publié en 1818, définit la lycanthropie comme une

« maladie qui, dans les siècles où l’on ne voyait partout que démons, sorcelleries et maléfices, troublait l’imagination des cerveaux faibles, au point qu’ils se croyaient métamorphosés en loups-garous, et se conduisaient en conséquence. Les mélancoliques étaient plus que les autres disposés à devenir lycanthropes, c’est-à-dire hommes loups. ».

Une maladie psychiatrique [modifier]

La croyance que son propre corps peut se transformer en loup est une zoopathie, à savoir un symptôme d'une maladie psychiatrique en cours. La structure de ce délire est de type paraphrénique.

Filmographie [modifier]

Article détaillé : Liste de films de loup-garou.

Notes [modifier]

  1. Dans le Rigveda, le loup est appelé le voleur et la coutume existait de pendre un loup aux côtés de tout voleur sur le gibet (source Ernest Jones Le Cauchemar)
  2. Il signifie « qui retourne sa peau », cf. Pline l'Ancien, Historia naturalis, VIII, XXXIV, §80. [(la) lire en ligne] Pline indique d'ailleurs qu'il ne faut pas y croire :

    Texte latin : Homines in lupos verti rursusque restitui sibi falsum esse confidenter existimare debemus aut credere omnia quae fabulosa tot saeculis conperimus.
    Traduction : Il nous faut assurément considérer comme faux que les hommes puissent se changer en loups et inversement, à moins d'accorder crédit à toutes les choses fabuleuses dont on nous a abreuvés au cours des siècles

  3. abcde Ernest Jones Le cauchemar
  4. Hérodote, IV, 105
  5. Pline l'ancien, Histoire naturelle, Livre VIII ch.XXXIV (XXII.)
  6. vargr=loup (acception antique et nordique) et úlfr=loup(acception pangermanique) : ref Régis Boyer le monde du double - La magie chez les anciens Scandinaves, L'Ile Verte Berg International, 1986, (ISBN 2900269482)
  7. abc Régis Boyer le monde du double - La magie chez les anciens Scandinaves, L'Ile Verte Berg International, 1986, (ISBN 2900269482)
  8. furor Teutonicus de Tacite ; amok malais
  9. Claude Lecouteux, fantômes et revenants au moyen âge, postface de Régis Boyer, IMAGO, 1986, (ISBN 2902702337)
  10. hamfor, le voyage du hamr
  11. Claude Lecouteux, p.178
  12. Histoires, disputes et discours des illusions et impostures des diables

Bibliographie [modifier]

  • Alexandra Costache-Babcinschi, Le loup - le monstre du Moyen Âge ? Histoire des loups au Moyen Âge français, chapitre II. [lire en ligne] sur le site du Groupe Roumain pour une Histoire Alternative.
  • Claude Prieur, Dialogue de la lycanthropie, ou transformation d'hommes en loups, vulgairement dits loups-garous, et si elle se peut faire (Louvain, J. Maës, et Philippe Zangre, 1596, in-8°)
  • Jacques Auguste Simon Collin de Plancy, Dictionnaire infernal, Slatkine, Genève, 1980. Reprod. en fac-sim. de la 6e éd., H. Plon, Paris, 1863. (ISBN 2-05-100139-1)
  • Jean Giono, Un roi sans divertissement, Gallimard, Paris, 2003 (ISBN 2-07-030397-7)– Dans ce roman, publié pour la première fois en 1947, un tueur en série sévit en hiver dans un village de montagne, perpétrant ses meurtres à la manière d'un loup. Dès le début du récit, la figure du loup-garou est explicitement évoquée.
  • A. Van Hageland et Jean-Baptiste Baronian (éd.), Treize histoires de loups-garous, Verviers, Marabout, 1975.
  • Barbara Sadoul (éd.), Gare au garou !, Paris, Librio, 2000.
  • Les Morsures du loup-garou, anthologie présentée par Alain Pozzuoli, Les Belles Lettres, Paris, 2004. (ISBN 2-251-44266-9)
  • Boris Vian, Le Loup-garou – Le romancier détourne la légende en racontant la vie d’un pauvre loup contraint de se transformer en homme de temps à autre.
  • Roland Villeneuve, Loups-garous et vampires : les amants de la mort, P. Bordas, Paris, 1991. (ISBN 2-86311-211-2)

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